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Affichage des articles du 2011

Exposition à l'OPP

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Ca s'est passé  O PERES PEINARDS et c'est pendant tout le mois de décembre. Quelques photos avant le travail sur plaque de métal et d'autres plaques finalisées avec peinture et rouille

LA FÊTE DU SLEEVE AU P'TIT BAZ'ART

ATELIER SLEEVE FACE Le Sleeveface qui signifie littéralement visage pochette, est un mouvement ludique apparu en 2008 sur internet. Il consiste à prendre une photo en fusionnant son corps avec une pochette vinyle de format 33 tours afin que l'un soit le prolongement de l'autre. L’aspect ludique de ce mouvement photographique est de pouvoir jouer avec le cadre tout en débordant de la pochette créant des situations relatives à l'environnement et au graphisme de celle-ci. Cette photographie anonyme permet aussi de créer une relation à l'image sans que le physique du ou des protagonistes ne soit un obstacle : on peut très bien imaginer un corps de femme avec le visage de Serge Gainsbourg prolongeant la célèbre pochette de Love on the beat. L'aspectludique est renforcé par l'adhésion et la participation des protagonistes qui peuvent se grimer pour se mettre en scène. Avec ce montage photo sans artifice ni retouche, le sleeveface est le grandpère vintage et non virtue

Affiche des Bonnes de la Cie Hic et Nunc

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Les bonnes de jean Gennet par La Cie Hic et Nunc , bientôt sur Nancy

DES FILLES ET DES GOMMES

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Atelier avec Marie, Flora, Sandrine et Zou D'autres images sur le blog de MARIE

PROJECT 2011 les photos

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Pour voir l'intégralité des photos sur le site de PROJECT

FLY et AFFICHE de PROJECT

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FESTIVAL POP-UP

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Festival POP-UP, organisé par la MJC des 3 maisons dans les jardins du quartier Vayringe Un concept: un spectacle accueilli par un habitant des jardins

documentaire Vos como trabajas?

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Vos cómo trabajás? Autogestion au féminin, documentaire réalisé par Nabonnand Lucile et Etienne Simon, 16/9, 51mn, mars 2011 bande annonce Lors de la crise économique et financière de 1999-2001, de nombreuse usines ont été récupérées à Buenos Aires par leurs ouvriers, tandis que les patrons les fermaient les unes après les autres. Ce mouvement est né d'une nécessité de survie dans un contexte social très dur, mais qui perdure depuis comme une réponse prolétaire actuelle à la fermeture d'un lieu de travail. En allant rencontrer ces travailleurs, nous voulions porter un regard sur la récupération et l'autogestion comme facteurs d'émancipation pour les femmes dans la société argentine globalement misogyne. La question sous-tendue par notre documentaire est de savoir si une organisation du travail plus solidaire, collective autogérée amène aussi à un autre regard sur le travail féminin. D'un point de vue plus symbolique, il pose ces deux questions: les cho

AU TEM

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Au TEM